Catégorie : Actualités

Parcoursup – Mode d’emploi

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Les émotions

Découvrez à travers cette vidéo une approche ludique du monde magique de nos émotions !

C’est quoi le SMART ?

On entend souvent cette phrase autour de nous : « Pour avancer dans la vie, il faut savoir si fixer des objectifs ! ». C’est vrai mais, une fois l’objectif fixé, encore faut-il l’atteindre ! Se fixer des objectifs que l’on n’atteint jamais est particulièrement néfaste à l’estime et la confiance en soi. En effet, la frustration, le sentiment d’échec, le doute consécutifs à la non-atteinte de cet objectif ne seront pas facteurs de bien-être et d’épanouissement. Mais alors, comment savoir si l’objectif que je me fixe est un bon objectif ? Une seule façon : vérifier que mon objectif est SMART ! Mon objectif est-il Spécifique, c’est-à-dire qu’il représente une action précise, formulée positivement ? Mon objectif est-il Mesurable, c’est-à-dire qu’il est facile de mettre en place des indicateurs de mesure son atteinte ? Mon objectif est-il Atteignable, c’est-à-dire qu’il est motivant, qu’il nécessite un certain engagement ? Mon objectif est-il Réaliste, c’est-à-dire qu’il tient compte de ma situation actuelle, de mon contexte, de mon environnement ? Mon objectif est-il Temporel, c’est-à-dire planifié et limité dans le temps ? Illustrons cela avec l’objectif suivant : « Je veux ranger ma maison. » Est-ce un objectif Spécifique? Non, c’est trop vague, cela nécessite un nombre trop important d’action. Est-ce un objectif Mesurable? Non, c’est trop flou, à quoi verrai-je que ma maison est rangée ? Est-ce un objectif Atteignable? Non, c’est trop vaste, c’est décourageant. Est-ce un objectif Réaliste? Non, la tâche est trop importante, je manque de temps pour le faire. Est-ce un objectif Temporel? Non, il n’y a pas d’indication de délai, de date. Voilà dans le même esprit ce que serait un objectif SMART : « Pour demain soir, j’aurai mis de l’ordre dans le salon en rangeant les livres qui traînent au sol dans la bibliothèque. » C’est Spécifique: il s’agit bien d’une seule action précise. C’est Mesurable: je verrai facilement demain soir si plus aucun livre ne traîne au sol. C’est Atteignable: c’est une tâche simple, facilement réalisable, donc motivante. C’est Réaliste: j’en ai pour maximum 2 heures, c’est facilement planifiable dans ma journée. C’est Temporel: je dois avoir terminé pour demain soir, j’ai une date butoir. Il vaut mieux avancer pas à pas et se fixer de petits objectifs que de vouloir faire de grandes enjambées en se fixant des objectifs que l’on ne peut atteindre ! Alors désormais, vérifiez bien que vos objectifs sont SMART et surtout, lorsque vous les atteignez, n’oubliez pas de vous récompenser !

APPRENDRE A PENSER POSITIF !

Parmi les affirmations ci-dessous, quelles sont celles qui vous correspondent ? Vous avez tendance à voir le verre à moitié vide. Vous manquez parfois d’énergie pour affronter les difficultés de la vie. Vos rêves de jeunesse vous semblent aujourd’hui inaccessibles. Pour ne pas être déçu, vous vous attendez toujours au pire. Vous vous levez souvent du mauvais pied. Vous avez du mal à faire confiance aux autres. Vous jugez « naïfs » ceux qui voient la vie en rose. Le mois dernier, vous avez pensé plus de trois fois, « je ne suis pas à la hauteur ». Vous voyez facilement les défauts des gens. Pour vous, tout est écrit à l’avance. Vous avez sélectionné plus de 5 phrases, alors le « penser positif » n’est pas très présent dans votre quotidien ! Pensez positif, c’est changer votre regard sur la vie, créer un environnement optimiste, développer une confiance et une estime de soi positive. La positivité, c’est comme un muscle ! Si vous ne l’entraînez pas, il va logiquement rester faible. Au contraire, si vous l’entraînez et que vous l’exercez régulièrement, ce « muscle va se renforcer » et votre aptitude à être positif et à penser plus positivement va s’accroître. Voici quelques conseils pour apprendre à penser positif : 1 – Identifier sa négativité La négativité vient soit de l’extérieur, soit de nous-même. Il faut apprendre à l’identifier. Chaque fois que l’on se surprend à être négatif, à se plaindre, à faire la victime, à avoir peur, on amplifie cette négativité. Identifier ces moments, c’est une première étape vers la positivité. 2 – Accepter sa négativité, puis essayer de la transformer en positif Lorsque vous identifiez une pensée négative, ne la repoussez, acceptez-la et cherchez immédiatement à la contrer, en la remplaçant pas une pensée positive. Un petit exemple pour illustrer : Le réveil sonne, il est 6h30. Vous êtes fatigué, vous n’avez pas envie de vous lever, vous pensez « Je n’ai pas envie d’aller travailler, j’ai envie de rester au lit, c’est une mauvaise journée qui commence ». Vous identifiez alors une pensée négative. Essayez de la transformer en pensée positive : « J’ai quand même de la chance, j’ai un boulot ! Et puis, je pourrai dormir ce WE ! » Être négatif, ce n’est pas dramatique, tant que vous faîtes l’effort d’essayer de changer ça. Au bout de quelques temps, vous connaîtrez les moments où vous avez le plus tendance à être négatif, vous pourrez alors contrer ses pensées avant même qu’elles n’apparaissent ! 3 – 3 kifs par jour : Autre exercice pour apprendre à penser positif : le carnet des 3 kifs ! À la fin de chaque journée, notez sur un carnet 3 choses positives qui vous sont arrivées pendant la journée. Même si, a priori, vous ne trouvez rien, continuez, cherchez, explorez. Plus vous ferez cet exercice, et plus vous trouverez facilement de moments positifs dans votre journée. 4 – Repérer ce qu’il y a de positif tout au long de la journée Trouver du positif dans ce que l’on vit, cela peut se faire tout au long de la journée ! À chaque fois que vous identifiez du positif, notez-le. Et à chaque fois que vous vous prenez en flagrant délit de négativité, notez-le aussi, et essayez de remplacer tout de suite le négatif par quelque chose de positif. Apprenez à repérer la positivité dans les plus petites choses : un sourire, une parole, un oiseau, un enfant, manger un fruit… 5 – Se nourrir de pensées positives La positivité est un cercle vertueux. Plus vous êtes positif… et plus vous êtes positif. Plus vous apprenez à voir du positif, et plus vous en voyez. Plus vous nourrissez votre esprit de positif, et plus cette même positivité resurgit ensuite dans vos pensées. Alors allez-y et POSITIVEZ !

La Génération Z ou Génération 4 C

On connaissait les Y et leur connectivité ! Voici maintenant les Z, nés après 1995 ! Ils sont au lycée, sont étudiants, et commencent à arriver dans le monde du travail ! Mais qui sont-ils ? Pour les définir, on peut parler de génération 4C : Génération Collaborative : Les Z sont curieux et sociables. La culture du partage et de l’éthique imprègne leurs échanges. Ils s’épanouissent dans la collaboration horizontale, transversale, où chacun apporte son idée, son savoir, sans rapport hiérarchique. Ils aiment échanger, dans un souci de respect partagé. L’économie, l’environnement et l’impact de l’activité humaine sur la planète sont des sujets qui les intéressent. En résumé, ils se sentent concernés. Génération Confiante : Selon un sondage IPSOS réalisé en février 2016, 92% des jeunes annoncent « Oui, je vais réussir ma vie » et ce, malgré un environnement mondial perturbé : crise économique, terrorisme, menaces environnementales ou sanitaires. Tout en n’étant pas naïfs sur le monde qui les entoure, ils savent trouver le positif dans les turbulences de leur époque. Ils ne passent pas leur temps à comparer ce qu’ils vivent avec le passé et sont convaincus que leur avenir ne dépend que d’eux-mêmes. Génération Connectée : La génération précédente, génération Y, était déjà connue pour sa connectivité. Mais les Z vont encore plus loin. Internet et les réseaux sociaux représentent leurs sources d’informations, où ils vont puiser des données et se construire leur propre réalité. Accros du direct, de l’immédiateté, de l’éphémère, ils usent et abusent de Snapchat, Instagram et trouvent que Facebook, c’est pour les vieux ! Pour les neurologues, le cerveau des Z est un sujet d’étude passionnant. Il existe en effet trois systèmes nerveux dans le cerveau : le premier est rapide, intuitif (c’est celui qui est sollicité en priorité par les écrans, et surdéveloppé chez les Z). Le deuxième est plus réfléchi, plus lent, plus logique. Le troisième permet d’arbitrer entre les deux premiers : il est le siège véritable de l’intelligence, il permet de résister aux réponses impulsives. Les Z doivent donc apprendre à développer tous les systèmes nerveux, au risque de ne savoir réagir que dans l’instant, sans analyse, réflexion et discernement Génération Créative : Les jeunes de la génération Z préfèrent créer que copier. Ils créent leurs vidéos sur Youtube, partagent leurs photos sur les réseaux sociaux plutôt que celles des autres. Internet est plus un outil pour réaliser des choses que pour en montrer. Ils préfèrent les images aux textes et remplacent de plus en plus les conversations écrites par des Emojis, photos, vidéos ou messages audio. Ils essaient jusqu’à ce qu’ils trouvent, testent, entreprennent par eux-mêmes, osent des initiatives, se débrouillent. Ils n’imaginent pas leur avenir professionnel avec un seul métier, ne sont pas forcément intéressés par les grandes entreprises et la fonction publique mais rêvent plutôt de lancer leur propre entreprise. En résumé, une génération créative, pleine de ressources, qui va certainement obliger l’entreprise à modifier certains de ses codes.